Présentation générale de NOAILHAC

Voir poème : TOURISTES

bourg

 

NOAILHAC est un village typique du Midi Corrézien, situé entre deux des  « Plus Beaux Villages de France » : Collonges et Turenne. Il est inclus dans un projet de Grand Site en cours de création.

La commune s’étend sur 1351 hectares et compte 360 habitants.

L’altitude moyenne est de 332 mètres. Le Puy de la Ramière, où se trouve un dolmen, culmine à 502 mètres.

Noailhac est situé sur la faille géologique de Meyssac, entre grès et calcaire. La juxtaposition de ces roches a contribué à la richesse du patrimoine bâti. La zone au nord de la D38 est le domaine des châtaigniers qui poussent sur l’argile rouge. Au sud, on trouve le noyer et le chêne.

Au creux d’un vallon, le bourg est regroupé autour de son église (12e-15e), monument historique classé en 1923, qui intègre certains vestiges du château des Noailles détruit en 1580, dont une tour de guet (échauguette) très caractéristique sur la façade sud du bâtiment.

Une promenade permet de s’imprégner du charme du village et de découvrir quelques maisons de caractère comme la tour Leymonerie, le lavoir, les croix, la citerne de la Farge, un pont de pierre, un départ de voie romaine, un sarcophage trouvé à l’emplacement d’un cimetière carolingien.

Le point de départ des « Chemins retrouvés », chemin de randonnée inscrit au PDIPR (Plan Départemental Des Itinéraires De Promenade et de Randonnée), se trouve sur la place de l’église.

En 2009, Noailhac a servi de cadre au Festival de l’Imaginaire sur le thème des fées.

Sur une butte, une imposante bâtisse, Baladre, domine la D38.

Plus loin, se dresse le château de Lon, bâti en 1650.

Le château de La Coste date du 15e siècle. Il est la propriété de l’artiste céramiste Vigreyos. Les façades, toitures et l’escalier à vis sont inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1972.

De Chabrignac, il ne reste que des pierres. Le château a été détruit après la Révolution de 1789.

Le hameau d’Orgnac est connu par la famille noble d’Ornhac dont le repaire a été rasé pendant la guerre de Cent Ans. Un souterrain refuge sous la place du village est le seul vestige de cette époque.

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